La congestion et la pollution sur le mont Everest

Deux alpinistes meurent au sommet de l’Everest.
Ces deux alpinistes sont sur le point de perdre la vie au sommet de l’Everest, au Népal. Depuis trente ans, le nombre d’alpinistes tentant le sommet mythique de l’Everest ne cesse d’augmenter et a aujourd’hui doublé.
Le 21 avril, une vidéo prise au sommet de l’Everest a été diffusée, ravivant le scandale. On y voit des alpinistes tenter d’atteindre à nouveau le sommet, tandis que d’autres font la queue pour atteindre le sommet de l’Everest. Leur lutte dans cet endroit dangereux a conduit à un terrible drame impliquant six alpinistes. Quatre d’entre eux ont réussi à se rétablir, mais les deux autres ont perdu la vie. Ce drame s’est accumulé au cours d’une année déjà difficile. Quatre sont morts et trois sont devenus invalides juste après le Nouvel An.
Du mois d’avril jusqu’au début de juillet, saison la plus favorable à la hausse des températures, des fichiers d’alerte impressionnants sont créés et des vidéos circulent sur chaque réseau. Le meilleur mois reste mars, lorsque les conditions sont si bonnes que « 200, 300, 400 personnes sont au sommet », explique l’alpiniste François Carrel, auteur de « Himalayan Business ».
Selon l’AFP, depuis avril, pas moins de 500 alpinistes ont atteint le sommet de l’Everest. En 2023, plus de 600 alpinistes risqueront leur vie pour atteindre le sommet et 18 en mourront.
Il n’y a pas que les alpinistes qui ont tenté cette ascension. Cette ascension est l’apanage non seulement par les alpinistes, mais aussi des amoureux de la montagne. Et cette année, l’Inoxtag français est apparu et est devenu un sujet populaire.

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